Carmen G. Sanchez : Est ce que vous pouvez me parler concrètement mesdames, du projet que vous avez souhaité entamer en terme de virage numérique? C’est quoi le virage numérique pour vous?
Marie-Josée Forbes : Moi, arrivant chez Barkley, avec un oeil extérieur j’ai pu voir différentes choses qui étaient un peu des lacunes. Je me suis dit que pour être un peu plus performant dans notre travail, il faudrait avoir un système de gestion d’actifs qui va nous aider à vraiment centraliser l’information au même endroit, afin d’avoir accès à cette information-là, peu importe où on est, que ce soit au bureau, ou comme dans une maison à faire une vérification.
Carmen G. Sanchez : Quelles difficultés avez-vous rencontrés au quotidien avant de vous dire OK, c’est le bon moment pour se lancer? Cela répond à quel besoin du côté de votre équipe à l’interne?
Nancy Barkley : Je dirais qu’au niveau de l’efficacité, il y avait quelquefois du dédoublement dans les tâches parce qu’on était beaucoup papier. Donc il y avait un bon travail manuel, avec un autre fichier pour les visites. Parfois, l’information passait dans trois mains; soit qu’on doublait la communication ou il pouvait y avoir un risque de perte d’information. Donc de un, ça créait un stress, et de deux, c’était un risque de perdre de l’information et une perte de temps aussi. Donc on voulait vraiment optimiser tout ça. Alors c’était ça qui était le besoin.
Carmen G. Sanchez : Quel a été le processus pour vous de cheminer vers un consultant, d’intégrer quelqu’un comme ça? Quelles sont les étapes que vous avez faites pour le processus?
Marie-Josée Forbes : Ça a été assez rapide. On a eu une première communication avec Allison, puis je pense que deux semaines après, on avait déjà une rencontre avec Carl, puis avec l’ADRIQ, puis Connexion Laurentide. Cela a été très vite.
Nancy Barkley : Ça nous a aidé à s’orienter, parce qu’on ne savait pas trop par où commencer au début, comment faire nos recherches. On avait une très bonne idée de ce qu’on voulait, mais je pense qu’avec l’accompagnement qu’on a reçu, cela a fait un plus un assez rapidement.
Carmen G. Sanchez : Je pense que c’est là la complémentarité; en fait, on était en mesure chez Connections Laurentides, conjointement avec les services de développement économique de la région, de pouvoir justement vous accompagner, notamment grâce à notre partenariat avec l’ADRIQ.